En route vers l'île soit disant "idyllique et méditative, offrant des vues sublimes sur le lac Baikal"
Sur le trajet plus que chaotique, je rencontre une mamie trop chou, une véritable résidente de l'île.
Elle ne voulait plus me lâcher dit donc...
Ah oui, ici le mot dépaysant prend tout son sens.
Pas de route, juste du sable.
Pas de bitume ni de béton, que du bois et des maisons construites à la main.
Pour vous donner une idée, sur les 500M qui nous séparaient du minimarket, nous croisions:
2 personnes, 5 vaches en totale liberté, et une dizaine de chiens errants.
Les vaches ont la priorité sur les voitures, et les chiens s'ennuient tellement, qu'ils s'amusent a essayer d'arrêter les voitures, ou encore à nous escorter dans nos balades (à tel point que Julien et Fanny ressemblaient à des vagabonds, avec leur meute de chiens autour d'eux).
Vous nous croirez si vous voulez, mais ce carrefour est le carrefour principal de la vile principale de Khoujir.Et oui, c'est ici que se croisent les 2 plus grosses "rues" de l'île.
Une vache, une lada, et Fanny. (La vache est au 1er plan)...LOL
Toutes ces drôles de choses n'empêchent pas mes 2 routards de trouver leur auberge (un ensemble de petits chalets individuels trop sympas)
l'ennui est que les toilettes sont une cabane en bois au fond du jardin qui cache un trou (pour le moins odorant !)
La salle de bain, c'est encore autre chose, nous en ferons l'expérience plus tard.
Le soir venu, nous nous faisons un petit festin autour de ce que l'on a pu trouver au minimarket local (autrement dit bière saucisson et chips)
Comme dirait Julien: "Une île dépaysante j'veux bien, mais qu'il y ait de la bière au moins"
Mardi 21, mes compagnons de route se dégotent une petite virée en jeep (lada 4X4) pour explorer la partie nord de l'île.
Paye tes routes.
On s'est tellement fait secoués qu'on en avaient les dents qui bougeaient...
Et me voilà, je pose et je repose...
J'aime bien.
Ici c'est Cap Khoboï, le point le plus haut et le plus au nord de l'île.
C'est haut, mais ca vaut le coup; les paysages sont superbes effectivement.
Trop content d'y être arrivés, on pose tous.
Mais moi le premier quand même, honneur au plus petit.
Les grands espaces ça creuse, alors vite vite à table.
Notre chauffeur nous a préparé un petit repas typique d'ici.
Encore faut-il le trouver.
Il s'est installé un peu plus haut dans la forêt...
Je ne sais pas ce qu'est la faim, mais apparemment fatigué ou pas, ca fait courir Julien.
Au menu soupe de poissons (avec morceaux, tête queue etc...) réchauffée dans une vieille marmite en cuivre.
Il nous a fait un joli feu dans une jante de camion.
On fait avec les moyens du bord.
Puis petit tour par le rocher de l'amour.
Un peu de grimpette encore en perspective, et la pose bien sûr.
Ah oui, pour les amateurs de vieille camionnette (genre Davy), ici vous êtes servis.
Le lendemain, pour reposer leur dos qui avait pas mal morflé durant la "balade" en Lada 4x4, mes 2 routards se sont prévus une petite journée de promenade à pieds (c'est plus confortable)
On débute par les "rochers du Chaman"
Sur le chemin du retour, nous croisons notre première yourte.
Trop fort.
Fanny ne peux s'empêcher de poser devant.
Et moi alors???
Pour finir la journée tranquillement, Fanny et Julien décident de se faire un petit "bania".
Si les toilettes étaient plus que moyennes, le bania était vraiment top !
Il s'agit d'une salle de bain-sauna : d'un côté on peut se poser sur des bancs pour profiter de la chaleur et de l'autre on trouve un autre banc ou sont disposées plusieurs bassines et une genre de mini casserole avec un long manche.
Tous ses ustensiles servent à mélanger l'eau chaude (dans une cuve chauffée par le bania) et l'eau froide dans une bassine pour ensuite utiliser la casserole pour se reverser l'eau à la bonne température sur le corps et prendre ainsi une bonne douche !
Fanny a réussi à se laver les cheveux là-dedans. C'était selon ses dire, un vrai bonheur, très agréable, d'autant plus que le bania leur était réservé pour eux tout seuls !
Le fin fond de la pampa a donc aussi ses bons côtés !
Sur le trajet plus que chaotique, je rencontre une mamie trop chou, une véritable résidente de l'île.
Elle ne voulait plus me lâcher dit donc...
Ah oui, ici le mot dépaysant prend tout son sens.
Pas de route, juste du sable.
Pas de bitume ni de béton, que du bois et des maisons construites à la main.
Pour vous donner une idée, sur les 500M qui nous séparaient du minimarket, nous croisions:
2 personnes, 5 vaches en totale liberté, et une dizaine de chiens errants.
Les vaches ont la priorité sur les voitures, et les chiens s'ennuient tellement, qu'ils s'amusent a essayer d'arrêter les voitures, ou encore à nous escorter dans nos balades (à tel point que Julien et Fanny ressemblaient à des vagabonds, avec leur meute de chiens autour d'eux).
Vous nous croirez si vous voulez, mais ce carrefour est le carrefour principal de la vile principale de Khoujir.Et oui, c'est ici que se croisent les 2 plus grosses "rues" de l'île.
Une vache, une lada, et Fanny. (La vache est au 1er plan)...LOL
Toutes ces drôles de choses n'empêchent pas mes 2 routards de trouver leur auberge (un ensemble de petits chalets individuels trop sympas)
l'ennui est que les toilettes sont une cabane en bois au fond du jardin qui cache un trou (pour le moins odorant !)
La salle de bain, c'est encore autre chose, nous en ferons l'expérience plus tard.
Le soir venu, nous nous faisons un petit festin autour de ce que l'on a pu trouver au minimarket local (autrement dit bière saucisson et chips)
Comme dirait Julien: "Une île dépaysante j'veux bien, mais qu'il y ait de la bière au moins"
Mardi 21, mes compagnons de route se dégotent une petite virée en jeep (lada 4X4) pour explorer la partie nord de l'île.
Paye tes routes.
On s'est tellement fait secoués qu'on en avaient les dents qui bougeaient...
Et me voilà, je pose et je repose...
J'aime bien.
Ici c'est Cap Khoboï, le point le plus haut et le plus au nord de l'île.
C'est haut, mais ca vaut le coup; les paysages sont superbes effectivement.
Trop content d'y être arrivés, on pose tous.
Mais moi le premier quand même, honneur au plus petit.
Les grands espaces ça creuse, alors vite vite à table.
Notre chauffeur nous a préparé un petit repas typique d'ici.
Encore faut-il le trouver.
Il s'est installé un peu plus haut dans la forêt...
Je ne sais pas ce qu'est la faim, mais apparemment fatigué ou pas, ca fait courir Julien.
Au menu soupe de poissons (avec morceaux, tête queue etc...) réchauffée dans une vieille marmite en cuivre.
Il nous a fait un joli feu dans une jante de camion.
On fait avec les moyens du bord.
Puis petit tour par le rocher de l'amour.
Un peu de grimpette encore en perspective, et la pose bien sûr.
Ah oui, pour les amateurs de vieille camionnette (genre Davy), ici vous êtes servis.
Le lendemain, pour reposer leur dos qui avait pas mal morflé durant la "balade" en Lada 4x4, mes 2 routards se sont prévus une petite journée de promenade à pieds (c'est plus confortable)
On débute par les "rochers du Chaman"
Sur le chemin du retour, nous croisons notre première yourte.
Trop fort.
Fanny ne peux s'empêcher de poser devant.
Et moi alors???
Pour finir la journée tranquillement, Fanny et Julien décident de se faire un petit "bania".
Si les toilettes étaient plus que moyennes, le bania était vraiment top !
Il s'agit d'une salle de bain-sauna : d'un côté on peut se poser sur des bancs pour profiter de la chaleur et de l'autre on trouve un autre banc ou sont disposées plusieurs bassines et une genre de mini casserole avec un long manche.
Tous ses ustensiles servent à mélanger l'eau chaude (dans une cuve chauffée par le bania) et l'eau froide dans une bassine pour ensuite utiliser la casserole pour se reverser l'eau à la bonne température sur le corps et prendre ainsi une bonne douche !
Fanny a réussi à se laver les cheveux là-dedans. C'était selon ses dire, un vrai bonheur, très agréable, d'autant plus que le bania leur était réservé pour eux tout seuls !
Le fin fond de la pampa a donc aussi ses bons côtés !